La porte était malicieusement ouverte. Une cabriole par ci, sur la pointe des pieds par là, une froerïn qui avait dû oublier ses racines elfiques s'approcha pour lire les parchemins. Diverses expressions passèrent sur son visage. De la perplexité à l'étonnement, de l'affolement à l'amusement, mais toujours les zygomatiques au travail. Un éclat de rire cristallin survint enfin, surtout dû aux pages concernant les rumeurs. Elle n'avait rien lu d'aussi drôle de sa vie, et les morceaux étaient judicieusement choisis... Finalement, elle inspira profondément et de l'air le plus innocent qui soit, s'évertua à tester ce qui se disait tout à la fin. Sa voix retentit à travers les locaux.
Arrrrg !